Lombodiscarthrose avec discopathie degenerative
La lombodiscarthrose, une forme d'arthrose touchant les disques intervertébraux lombaires, est souvent associée à une discopathie dégénérative du patient. Ce type d'arthrose se caractérise par la dégénérescence des disques vertébraux, provoquant des douleurs lombaires chroniques au niveau du rachis, une mobilité réduite et parfois une hernie discale. Les causes incluent le vieillissement, les facteurs génétiques et professionnels. Les symptômes varient selon les niveaux vertébraux affectés. Le diagnostic est capital pour établir un traitement adapté, allant des interventions non invasives aux solutions chirurgicales.
Un suivi médical professionnel est essentiel pour soulager les patients et améliorer leur qualité de vie. En cas de mauvais diagnostic ou d'une autre erreur médicale du praticien (chirurgien, médecin généraliste, anesthésiste, etc.) au cours d'une opération chirurgicale ou d'un traitement de l'arthrose sur vos vertèbres, vous aurez besoin de l'assistance d'un avocat en droit médical et dommage corporel pour obtenir la réparation de votre préjudice. En réponse à cela, c'est ce que vous propose ici Maître HUMBERT aux patients souffrant d'arthrose aux vertèbres, avocat expert en droit de la santé au cabinet d'avocats LEXVOX à Salon de Provence, près de Marseille. Voici les points clés pour obtenir vos réponses !
Ce qu'il faut savoir sur la lombodiscarthrose avec discopathie dégénérative
La définition de la lombodiscarthrose
Pour comprendre cette pathologie, il est essentiel d'isoler sa particularité. Pour commencer il faut savoir que la discarthrose avec discopathie dégénérative est un terme apparenté à la même et seule pathologie. En effet, on appelle aussi discopathie dégénérative la discarthrose ou arthrose des vertèbres ! Cette maladie se traduit par une usure des disques intervertébraux se situant sur la colonne vertébrale au niveau des 24 vertèbres. Mais quand on parle de lombodiscarthrose, il s'agit là de l'une des trois formes de discarthrose, soit la discarthrose affectant la région lombaire de la colonne. Les deux autres formes de la discarthrose chez le patient sont la discarthrose cervicale et la discarthrose étagée.
Lombodiscarthrose : quels sont les signes et les causes de cette pathologie ?
Contrairement aux idées reçues, la lombodiscarthrose ou discopathie dégénérative lombaire ne génère pas forcément de douleur classique ou de douleur chronique à ses prémices. Au stade de cette maladie, on observe généralement une dégénérescence discale prenant forme au début de l'âge adulte et s'amplifiant au fil des années. En termes de douleurs, les symptômes douloureux apparaissent progressivement et sur un démarrage insidieux. Toutefois, dans certains cas, la lombodiscarthrose peut provoquer de fortes douleurs. Cela arrive notamment quand on souffre de complications nerveuses au dos, sur la 4 ème et 5 ème vertèbre au niveau lombaire. C'est en raison de cela que les sciatiques surviennent régulièrement, irradiant l'intégralité de la jambe.
Concernant les disques affectés par la touchés par la lombodiscarthrose, ils présentent également un risque conséquent de développer des hernies. Ces hernies surviennent lorsque le noyau gélatineux d'un disque intervertébral fissuré s'échappe. Avec l'usure et l'amincissement du disque, le disque concerné devient plus vulnérable à la rupture. Si le noyau en fuite exerce une pression sur une racine nerveuse, cela peut devenir le signe même de la lombodiscarthrose.
Les causes de la lombodiscarthrose sont variées. La génétique joue un rôle important, prédisposant certaines personnes à une dégénérescence précoce du disque intervertébral. L'âge est un autre facteur clé, car le vieillissement entraîne l'usure naturelle, réduisant la capacité à absorber les chocs. Enfin, l'obésité accentue la pression sur la colonne vertébrale, accélérant également l'usure des disques et augmentant ainsi le risque de développement de la lombodiscarthrose. Ces facteurs combinés favorisent l'apparition de la pathologie de hernie discale ou lombodiscarthrose chez le patient.
Comment diagnostiquer et traiter la lombodiscarthrose ?
Pour diagnostiquer la discarthrose lombaire, le médecin procède d'abord à un interrogatoire détaillé et à un examen clinique, puis demande une radiographie de la zone affectée pour identifier d'éventuelles anomalies structurelles. Si les symptômes persistent ou si une intervention chirurgicale est envisagée, une IRM est réalisée pour obtenir une visualisation plus précise des tissus mous, des disques intervertébraux et des nerfs, permettant ainsi une évaluation complète de la région lombaire. L'IRM est indispensable pour planifier l'opération, car elle fournit des informations cruciales sur l'état des structures internes avant toute intervention.
La discarthrose étant une affection irréversible, le traitement vise surtout à atténuer la douleur chronique et à améliorer la mobilité. Des traitements telles que des séances d'injections de cortisone peuvent apporter un soulagement temporaire. En fonction du taux d'invalidité, on préconise aussi des activités sportives légères comme le gainage, la médicamentation avec des antalgique ou le port d'une ceinture spécifique à la zone lombaire. Il reste cependant possible d'envisager la chirurgie en cas de lombodiscarthrose sévère.
Pourquoi faire appel à un cabinet d'avocats ?
Les raisons de contacter un avocat en droit de la santé suite à votre discopathie
Dans le cas d'une erreur médicale ou d'un accident corporel hors cadre médical, il est tout à fait possible de faire intervenir un avocat spécialisé en matière de santé. La première raison est à la fois d'ordre juridique et médicale. En effet, vous devrez tout d'abord démontrer le lien de causalité entre les dommages corporels et les faits qui ont mené au préjudice, via une expertise médicale diligenté par un médecin-expert.
Hormis les causes issues de la prédisposition génétique, de la surcharge pondérale, du tabagisme ou de l'âge biologique de la personne atteinte, les circonstances peuvent être multiples :
- Il peut s'agir d'une maladie professionnelle survenue durant votre activité professionnelle ;
- La discopathie dégénérative lombaire peut provenir d'un traumatisme suite à un accident de la route ;
- La maladie peut aussi émaner de mouvements répétitifs ou de mauvaises postures au cours d'activités sportives, etc.
Ensuite, la deuxième raison est d'ordre juridique car vous aurez besoin de l'expertise de votre avocat qui vous aidera à recevoir la meilleure indemnisation concernant la réparation de vos préjudices.
La reconnaissances des préjudices suite à la discopathie
Les préjudices se présentent sous deux catégories :
- Les préjudices patrimoniaux
- Les préjudices ex-patrimoniaux
Effectivement, parmi les différents préjudices indemnisables sur les dommages provoqués au niveau du rachis, on compte le préjudice physique, le préjudice moral, le préjudice économique, le préjudice sexuel ou encore le préjudice esthétique. Tout dépend de l'origine et de la résultante du préjudice en question.
L'indemnisation de la discarthrose lombaire en cas de maladie professionnelle, d'accident médical ou d'accident corporel résultant d'un sinistre
L'indemnisation de la discarthrose lombaire suite à une maladie professionnel survenue pendant le travail, après un accident médical par un chirurgien ou autres praticiens (chirurgie, absence de traitements lors d'un mauvais diagnostic, etc.) ou corporel dépend de l'évaluation du préjudice par un expert médical. Si l'accident a aggravé une condition préexistante, l'indemnisation couvre l'aggravation. Elle inclut les frais médicaux, la perte de revenus et la compensation pour les souffrances endurées notamment à cause des douleurs engendrées. L'expertise établit un taux d'incapacité permanente partielle (IPP) pour déterminer le montant à verser. La prise en charge peut être partielle ou totale selon la responsabilité établie et le taux d'invalidité consécutif aux dommages sur la colonne vertébrale des patients.
Nous vous invitons à contacter Maître HUMBERT basé près de Marseille pour toutes informations complémentaires !
Cette actualité est associée aux catégories suivantes : Accidents et responsabilité médicale
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