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Avocat préjudices corporels pour atrophie cortico sous corticale en Provence

Le 14 octobre 2022
Avocat préjudices corporels pour atrophie cortico sous corticale en Provence
L'atrophie cortico-sous-corticale se caractérise par la diminution de certaines parties du cortex cérébral. C'est un symptôme d'Alzheimer. On l'identifie à partir d'un scanner cérébral. Focus sur cette maladie !

Le syndrome atrophie cortico sous-corticale à Saint Mitre les remparts et les environs (lésions entrainant la réduction de l'hyppocampe visible via l'échelle Scheltens) caractérise le vieillissement cellulaire cérébral et touche directement le système nerveux. En effet, la dégénérescence prend son origine en raison de l'âge du patient. D'où les difficultés lorsque l'on marque son diagnostic. On emploie généralement ce terme en radiologie. Votre cabinet d'avocats près de Marseille fait le point sur le sujet ! Après la lecture de l’article, vous comprendrez les différentes significations des différentes atrophies à Mallemort. Vous aurez aussi une meilleure compréhension des effets de cette atrophie sur les fonctions organiques et cognitives. Enfin, vous aurez une connaissance plus approfondie de la prise en charge, de l'examen et de l'expertise médicale si nécessaire pour obtenir une indemnisation à la clé.

Généralités sur les atrophies cortico sous-corticale

Bien que les atrophies de l'hyppocampe à Carry-le-Rouet ne soient pas à proprement parler une maladie car il s'agit d'un phénomène naturel de vieillesse entrainant la perte de neurones, on assimile tout de même ce syndrome comme telle à cause de tous les troubles que cette atrophie génère sur l'activité cérébrale, la confusion sur son statut. Cette diminution des neurones présentes dans l'écorce cérébrale (cortex) fait partie intégrante du process des pathologies de types neurodégénératives (source santé publique France) telles que la maladie d'Alzheimer ou la maladie de Parkinson. D'ailleurs, on explique cela en raison de l'effet macroscopique résultant des atrophies du cortex et allant de pair avec ce genre de dégénérescences d'origine essentiellement corticales à Barbentane.

Mais cela ne s'arrête pas uniquement au syndrome d'Alzheimer à Charleval, on recense bien d'autres pathologies liées aux dégénérescences du cerveau comme la maladie de la sclérose latérale amyotrophique à Saint-Etienne-du-Grès, la maladie de Parkinson, la maladie de Huntington ou encore la démence à corps de Lewy. Ce sont des maladies qui peuvent impacter le quotidien des patients à Ensuès la redonne, allant jusqu'à mettre leur sécurité et leur vie en danger. Il devient dont important de détecter au plus vite les atrophies cortico sous-corticale afin d'en limiter son évolution progressive et quasiment inévitable vers les pathologies citées.

Découverte sur les atrophies près de Marignane

C'est à partir d'un test ou d'un examen comme la scintigraphie à Maussane-les-Alpilles, l'IRM ou d'un scanner (imagerie cérébrale) prescrit par un médecin que l'on peut identifier les diverses atrophies. Bien souvent, la découverte du syndrome faite par le neurologue s'avère fortuite lors des examens. Pour bien comprendre le phénomène d'atrophies, il faut déjà comprendre que cela provient d'une diminution (ou rétrécissement) du volume du cerveau avec apparition de circonvolutions, en raison d'un processus physiologique résultant de l'âge avancé de l'individu.

Pour résumer le fonctionnement du cerveau, nous rappelons que celui-ci est composé de milliards de neurones (cellules nerveuses). Ces dernières s'agglomèrent activement hors de la boîte crânienne, c'est ce qu'on appelle la substance grise tandis que leurs ramifications s'effectuent en dedans du cerveau, ce qui correspond à la substance blanche de la zone sous-corticale à Lamanon.

Lorsqu'un patient réalise une imagerie cérébrale (IRM ou scanner), l'atrophie à Saintes Maries de la mer devient alors facilement décelable. On peut alors observer un élargissement des ventricules sous-corticaux et des sillons. Ce sont les principaux signes qui permettent de souligner les atrophies. Habituellement, ce phénomène survient après 55 ans. Les atrophies se constatent dès qu'il y a une activité de l'élargissement cité conséquente.

Les différents types d'atrophies cortico sous-corticale à Cornillon-Confoux

On recense 4 formes d'atrophies qui sont les suivantes :

  1. L'atrophie harmonieuse
  2. L'atrophie modérée
  3. L'atrophie diffuse
  4. L'atrophie fronto-pariétale

Les causes des atrophies cortico sous-corticale avec LEXVOX

Outre la dégénérescence cellulaire, il existe d'autres causes reliant les atrophies de l'écorce cérébrale. Il peut s'agir des répercussions d'un défaut de nutrition, d'un résultat congénital mais cela peut également provenir d'un trouble vasculaire (vascularisation) ou innervation. Dans tous les cas, cela génère irrémédiablement une latence au niveau de l'activité fonctionnelle.

Les caractéristiques et les conséquences de ces atrophies

Si les atrophies peuvent provoquer une dégradation du comportement et du raisonnement (démence) à long terme lorsqu'elle est installée depuis de longues années et qu'elle est importante, elle peut tout autant passer inaperçue à ses prémices. 

Lors de leur évolution, les atrophie provoquent un dysfonctionnement sur les fonctions cognitives. Cela commence tout d'abord la modification de la planification, la perte de mémoire, la difficulté à se remémorer des évènements récents puis petit à petits sur des faits qui remontent à plus loin.

Voici une liste des symptômes suivants :

  • Troubles de l'humeur
  • Désorientation spatio-temporelle
  • Changement du comportement
  • Trouble de l'élocution
  • Régression des fonctions exécutives

Bien que la personne atteinte d'atrophies conserve un état de conscience normal, le bilan à venir est sans appel puisque la situation va perdurer pernicieusement, à se dégrader graduellement.

Par la suite, les symptômes évoluent toujours plus et donnent lieu à une incontinence urinaire mais aussi fécale (trouble sphinctérien) ainsi qu'à des troubles moteurs. Puis, les symptômes dus aux atrophies de l'hippocampe persévèrent au fil du temps, impactant toujours plus l'activité cérébrale...

Pourquoi est-il indispensable de prendre en charge ces atrophies ?

Nous mettons en évidence les raisons principales de traiter au mieux ce type atrophies. Comme nous l'avons vu, cette dernière est pour ainsi dire le moteur de l'évolution vers des maladies neurodégénératives. Si nous prenons le cas de la maladie d'Alzheimer, à un stade avancé, nous allons assister à une dégénérescence neurofibrillaire qui est caractéristique aux pertes de cellules pyramidales de la matière grise.

D'où l'importance de prendre en charge les atrophies pour en ralentir l'évolution car nous précisons qu'à ce jour, il n'existe pas de traitement pour les atrophies chez les cerveaux humains. La médecine n'a pas encore trouvé de traitements pour cette pathologie qui peuvent soigner les atrophies liées au système cérébral mais cependant, un médecin neurologue peut proposer de l'orthoptique et de l'orthophonie pour tenter de limiter la progression de vos troubles neurologiques. Ces deux techniques sont par ailleurs celles que l'on prescrit au patient atteint d'Alzheimer.

Syndrôme cranien cérébelleux, encephalopathie et Scheltens

Qu'est-ce que le syndrome cranien cérébelleux ?

Les affections cérébelleuses sont des pathologies qui affectent le cervelet, une région de la boite cranienne responsable de la coordination des mouvements et de l'équilibre. Ces affections peuvent être causées par des anomalies génétiques, des traumatismes, des infections ou des troubles auto-immunes, entre autres causes. Les symptômes peuvent inclure des tremblements, des problèmes de coordination, des difficultés à marcher et un trouble de la parole. Le traitement peut inclure des médicaments, une thérapie physique et, dans certains cas, une intervention chirurgicale.

Qu'est-ce que l'encephalopathie ?

L'encéphalopathie est un terme qui désigne un dysfonctionnement cérébral diffus, qui peut être causé par diverses pathologies, traumatismes, intoxications ou dérèglements métaboliques.

La maladie peut se manifester par des symptômes au niveau de la conscience, des dérèglements cognitifs, des convulsions, des tremblements, des mouvements anormaux, un trouble de la coordination, des changements de personnalité et un trouble du sommeil.

Il existe plusieurs types d'encéphalopathies, chacune ayant une cause spécifique. Par exemple, celle hépatique est causée par une insuffisance hépatique, qui entraîne une accumulation de toxines dans le sang, qui peuvent atteindre la partie cérébrale et provoquer la maladie. La version hypertensive peut être causée par une hypertension artérielle non contrôlée, qui peut endommager les petits vaisseaux sanguins cérébraux et causer la maladie.

Le traitement de la maladie dépend de la cause sous-jacente. Il peut inclure la correction de l'altération métabolique, la gestion de la pathologie sous-jacente, l'administration de médicaments pour réduire les symptômes, ou encore une intervention chirurgicale dans certains cas. Dans les cas graves, l'hospitalisation peut être nécessaire.

Qu'est-ce que l'échelle de Scheltens ?

L'échelle de Scheltens est un outil d'évaluation radiologique utilisé pour mesurer la sévérité de l'atrophie du lobe temporal dans la maladie d'Alzheimer et d'autres maladies neurodégénératives.

Cette échelle a été développée par le Dr. Philip Scheltens et ses collègues et est basée sur l'analyse d'images d'IRM cérébral. Elle permet de mesurer le degré de réduction de l'épaisseur de l'hippocampe, une région du lobe temporal impliquée dans la mémoire et l'apprentissage, ainsi que d'autres mesures telles que la largeur de la scissure temporale latérale et la largeur du gyrus temporal supérieur.

L'échelle de Scheltens comprend cinq stades de gravité croissante, allant de l'absence d'atrophie à une atrophie sévère. Elle est couramment utilisée dans la recherche sur la maladie d'Alzheimer pour quantifier la progression de la maladie et pour évaluer l'efficacité des traitements potentiels.

Erreur médicale, avocat et indemnisation des atrophies cortico sous-corticale dans le Gard et les Bouches-du-Rhône

Atrophies et erreur ou faute médicale à Nîmes

Les erreurs médicales sont des situations dans lesquelles un praticien de santé, un hôpital ou une clinique pratiquent les soins de façon incorrecte. Elle peut être la cause d’un préjudice grave comme un décès, un handicap ou une pathologie. Un traumatisme psychologique ou l’apparition de nouvelles maladies peuvent aussi en être la conséquence. Suite aux soins, le patient peut faire face à des problèmes financiers, ne pas pouvoir travailler et se retrouver dans le besoin.

Vous avez été la victime d'un mauvais diagnostic d'atrophie corticale postérieure  (syndrome de Benson) ou d'une autre forme d'atrophies ? il s'agit là d'une erreur médicale qui est non seulement passible d'entrainer des poursuites judiciaires pour engager la responsabilité médicale du neurologue ou autre praticien fautif mais qui est de plus indemnisable. Nos avocats Provence en divorce et préjudices corporels vous présente un dispositif infaillible : la MÉTHODE LEXVICTIME ERREUR MEDICALE.

Choisir votre cabinet d'avocats spécialiste en droit de la santé près d'Arles pour une erreur médicale

Les victimes d'erreurs ou de fautes médicales doivent impérativement solliciter l'intervention d'un cabinet d'avocats près de Martigues qui dispose de la spécialisation requise comme Maître HUMBERT avocat spécialiste en dommages corporels à Aix en Provence. Pour prouver un lien de causalité entre l'erreur médicale et le préjudice, vous devrez absolument passer une expertise médicale, seulement ce type d'examens se prépare. Et que de mieux que de procéder à cette préparation avec un avocat pénal spécialiste en préjudices et responsabilité médicale près de Marseille !

L'indemnisation de votre préjudice lié à une erreur médicale 

Chaque année, de nombreux Français sont victimes d’erreurs ou de fautes médicales. Si vous en avez été aussi la victime, sachez que vous avez des droits : celui à l’indemnisation. Mais pour cela, il faut d’abord que vous prouviez qu'il y a eu une faute et un préjudice à l'encontre de votre vie.

Il faut ensuite que vous soyez en mesure de prouver que cette erreur a eu des conséquences sur votre quotidien, tant au plan social que professionnel. Les données juridiques sont d'ailleurs très claires sur le sujet, il convient d'en apporter le lien de causalité.

La loi oblige les médecins à vous informer des risques inhérents à leur diagnostic, leur soin ou leur intervention chirurgicale et vous donne le droit de refuser un traitement. Malgré cela, vous pourriez faire l’objet d’une erreur médicale à Saint-Victoret qui exige la réparation de votre dommage.

La requête d'une indemnisation pour abdominoplastie ratée, greffe de cheveux ratée, liposuccion cuisse ratée, bichectomie ratée etc. peut être très difficile à gérer. La décision de porter plainte contre les praticiens ou les hôpitaux implique l'assistance d'un avocat chevronné en la matière près d'Arles ! Lui seul peut évaluer vos dommages en fonction des postes de préjudices disponibles sur le tableau Dintilhac.

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